Dormir en mer
Citation de thierry le 30 juillet 2020, 18 h 09 minJ'ai passé le cap de dormir une nuit en mer sur mon Skellig 2 dans le bassin d'Arcachon.
Je suis parti en début de soirée avec un peu de vague et du vent 20 nœuds. Après 2 heures de navigation (courant de la marée + vent défavorables), j'arrive enfin au banc de sable que j'avais déjà repéré. A marée haute + 4 mètres, je mets l'ancre, content de m'arrêter. La houle qui est sympa quand on navigue devient plus gênante une fois arrêté. Je m'habitue et je profite de merveilleux couché de soleil, seul au milieu de l'eau et du levée de la nuit.
Je vais enfin me coucher, imaginant que je suis bercé par les vagues et non dérangé afin de ne pas avoir le mal de mer. Je m'endors, avec le bruit de l'eau et des drisses. Vers 2 heures du matin, je me réveille dans silence total, le bateau ne bouge plus, je suis enfin posé sur le banc de sable.
Je sors ma tête de la cabine, je regarde avec la lampe électrique le sable, mais j'ai la flemme de sortir du bateau. Je contrôle ma position GPS, je n'ai pas bougé, l'ancre a fait son travail. Je me rendors jusqu'au levé du jour et profite encore de ce merveilleux moment.
J'ai passé le cap de dormir une nuit en mer sur mon Skellig 2 dans le bassin d'Arcachon.
Je suis parti en début de soirée avec un peu de vague et du vent 20 nœuds. Après 2 heures de navigation (courant de la marée + vent défavorables), j'arrive enfin au banc de sable que j'avais déjà repéré. A marée haute + 4 mètres, je mets l'ancre, content de m'arrêter. La houle qui est sympa quand on navigue devient plus gênante une fois arrêté. Je m'habitue et je profite de merveilleux couché de soleil, seul au milieu de l'eau et du levée de la nuit.
Je vais enfin me coucher, imaginant que je suis bercé par les vagues et non dérangé afin de ne pas avoir le mal de mer. Je m'endors, avec le bruit de l'eau et des drisses. Vers 2 heures du matin, je me réveille dans silence total, le bateau ne bouge plus, je suis enfin posé sur le banc de sable.
Je sors ma tête de la cabine, je regarde avec la lampe électrique le sable, mais j'ai la flemme de sortir du bateau. Je contrôle ma position GPS, je n'ai pas bougé, l'ancre a fait son travail. Je me rendors jusqu'au levé du jour et profite encore de ce merveilleux moment.